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Polémique en temps de Covid : Christophe Dechavanne et Olivier Véran répondent à Nicolas Bedos sur les masques...

26 Septembre 2020, 20:36

Après l'appel de Nicolas Bedos à "vivre quitte à mourir", l'animateur Christophe Dechavanne a "quelques mots" à lui dire sur les masques et le Covid.
On applaudit M. Dechavanne.

 “On peut jouer avec de nombreux feux Nicolas, mais pas ceux-là.” Dans un long message partagé sur Twitter ce jeudi 24 septembre au soir, Christophe Dechavanne répond à l’appel de Nicolas Bedos à “arrêter tout: le masque, les confinements”. Alors que l’épidémie de coronavirus est à la hausse, l’animateur à l’origine de la campagne “Sortez couverts!” a des choses à lui dire.

“Après 30 piges d’énergie donnée, près de 40 millions de capotes, de ‘sortez couverts’ plus tard et peut-être quelques vies sauvées m’a-t-on dit (le plus beau compliment de ma vie à moi) comment puis-je rester insensible à ton texte”, démarre Christophe Dechavanne, dont la conjointe est soignante. “Ce p... de masque, aussi pénible à supporter que la ceinture de sécurité à l’époque ou les capotes, donc, une décennie plus tard. Un seul dérapage, quelques gouttes (!) suffisent pour que la vie des uns ou des unes bascule dans une tristesse infinie.”

“Appeler à ne pas s’astreindre à l’un de ces devoirs civiques et humains n’est pas possible en fait et ne souffre d’aucune discussion”, insiste l’homme de télé de 62 ans. “Baisez sans précaution! Foncez sans ceinture! Postillonnez sans masque! Et pourquoi pas dans la même journée... Malheureusement il n’y a qu’un seul Mac Gyver. Sans déconner... On peut jouer avec de nombreux feux Nicolas, mais pas ceux-là.”

Auditionné par le Sénat sur le Covid 19, le ministre de la Santé a réagi à la tribune publiée par Nicolas Bedos sur Instagram.

DERNIÈRES INFOS COVID 19

"Mercredi, (le ministre de la Santé) Olivier Véran a choisi un langage de vérité mais il n’est pas encore allé assez loin. Il n’a pas dit que, si rien ne change, dans trois à quatre semaines, la France va devoir affronter, pendant plusieurs longs mois d’automne et d’hiver, une épidémie généralisée sur tout son territoire", a-t-il ajouté. Le pays n’aura pas de "base arrière dans laquelle puiser des renforts humains, avec un système de santé incapable de répondre à toutes les sollicitations", a encore dit Patrick Bouet.

Source Sud Ouest

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