- Fin janvier, le président de la République a décidé de ne pas reconfiner le pays, contre l’avis de nombreux médecins.
- L’épidémie connaît à présent « une forme de troisième vague », selon les mots de Jean Castex ce mardi.
- Depuis deux mois, la majorité défend la stratégie de l’exécutif de temporiser, alors que de nouvelles restrictions pourraient être annoncées dans la semaine.
Fin janvier, la majorité saluait la décision d’Emmanuel Macron de de pas confiner le pays face au risque de reprise épidémique. Les macronistes louaient alors un président de la République capable d’avaler les études spécialisées pour mieux déjouer les prédictions alarmistes des médecins. Six semaines plus tard, la situation sanitaire s’est dégradée dans plusieurs régions, comme dans les Hauts-de-France ou en Provence-Alpes-Côtes-d’Azur. En Ile-de-France, le nombre de malades en réanimation a dépassé lundi le pic de la deuxième vague de l'automne.
La France est entrée dans « une forme de troisième vague […] caractérisée par des variants nombreux », a estimé ce mardi Jean Castex à l’Assemblée nationale. La veille, le chef de l’Etat avait annoncé que l’exécutif aurait à « prendre dans les jours qui viennent sans doute de nouvelles décisions » pour lutter contre le coronavirus. Un échec stratégique pour le président épidémiologiste ?
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La " troisième vague " signe-t-elle l'échec du président épidémiologiste ?
Fin janvier, le président de la République a décidé de ne pas reconfiner le pays, contre l'avis de nombreux médecins. L'épidémie connaît à présent " une forme de troisième vague ", selon...
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