/image%2F3975243%2F20200209%2Fob_5f06ce_webzine.png)
Historienne spécialiste du genre au cinéma, Geneviève Sellier décrypte la tribune de soutien à Gérard Depardieu. Elle analyse aussi les mécanismes qui ont conduit à sa publication.
CINEMA - « Lorsqu’on s’en prend ainsi à Gérard Depardieu, c’est l’art que l’on attaque. » Dans une tribune publiée dans la soirée du 25 décembre, une cinquantaine d’artistes prennent la défense de Gérard Depardieu qu’ils estiment victime d’un « lynchage ». Parmi eux, Nathalie Baye, Carole Bouquet ou Pierre Richard. Le texte est publié cinq jours après qu’Emmanuel Macron a défendu l’acteur, qui, selon le président, « rend fier la France ». Gérard Depardieu est pourtant visé par plusieurs plaintes pour viol et a tenu, dans des images diffusées par l’émission Complément d’enquête, des propos obscènes envers plusieurs femmes et une petite fille.
Pour Geneviève Sellier, professeure émérite en études cinématographiques à l’Université Bordeaux Montaigne, historienne spécialiste des questions de genre au cinéma et animatrice du site Le Genre et l’écran, cette défense de Gérard Depardieu s’inscrit dans une tradition bien française : celle de placer l’artiste au-dessus des lois.
Suite de l'article ci-dessous, en suivant le lien...
/https%3A%2F%2Fhuffpost-focus.sirius.press%2F2023%2F12%2F26%2F451%2F0%2F8660%2F4871%2F1820%2F1023%2F75%2F0%2Fc0cdaaf_1703610196884-gettyimages-941593838.jpg)
La tribune de soutien à Gérard Depardieu " rappelle furieusement l'Ancien Régime "
Historienne spécialiste du genre au cinéma, Geneviève Sellier décrypte la tribune de soutien à Gérard Depardieu. Elle analyse aussi les mécanismes qui ont conduit à sa publication.
La tribune de soutien à Gérard Depardieu " rappelle furieusement l'Ancien Régime "
Historienne spécialiste du genre au cinéma, Geneviève Sellier décrypte la tribune de soutien à Gérard Depardieu. Elle analyse aussi les mécanismes qui ont conduit à sa publication.
/https%3A%2F%2Fhuffpost-focus.sirius.press%2F2024%2F04%2F25%2F491%2F616%2F5233%2F2944%2F1820%2F1023%2F75%2F0%2F7f5f678_1714052713453-br-101-unit-00795-rt.jpg)
/https%3A%2F%2Fimages.theconversation.com%2Ffiles%2F516405%2Foriginal%2Ffile-20230320-2333-dp7ipq.jpg%3Fixlib%3Drb-1.1.0%26rect%3D303%2C278%2C1741%2C870%26q%3D45%26auto%3Dformat%26w%3D1356%26h%3D668%26fit%3Dcrop)
/https%3A%2F%2Fimages.theconversation.com%2Ffiles%2F585171%2Foriginal%2Ffile-20240328-18-niwtac.jpg%3Fixlib%3Drb-4.1.0%26rect%3D102%2C970%2C4573%2C2286%26q%3D45%26auto%3Dformat%26w%3D1356%26h%3D668%26fit%3Dcrop)
/https%3A%2F%2Fimages.theconversation.com%2Ffiles%2F583191%2Foriginal%2Ffile-20240320-17-z24448.jpg%3Fixlib%3Drb-1.1.0%26rect%3D456%2C33%2C3953%2C1976%26q%3D45%26auto%3Dformat%26w%3D1356%26h%3D668%26fit%3Dcrop)
/https%3A%2F%2Fhuffpost-focus.sirius.press%2F2024%2F04%2F25%2F491%2F616%2F5233%2F2944%2F1820%2F1023%2F75%2F0%2F7f5f678_1714052713453-br-101-unit-00795-rt.jpg)
/https%3A%2F%2Fimages.theconversation.com%2Ffiles%2F516405%2Foriginal%2Ffile-20230320-2333-dp7ipq.jpg%3Fixlib%3Drb-1.1.0%26rect%3D303%2C278%2C1741%2C870%26q%3D45%26auto%3Dformat%26w%3D1356%26h%3D668%26fit%3Dcrop)
/https%3A%2F%2Fimages.theconversation.com%2Ffiles%2F585171%2Foriginal%2Ffile-20240328-18-niwtac.jpg%3Fixlib%3Drb-4.1.0%26rect%3D102%2C970%2C4573%2C2286%26q%3D45%26auto%3Dformat%26w%3D1356%26h%3D668%26fit%3Dcrop)
/https%3A%2F%2Fimages.theconversation.com%2Ffiles%2F583191%2Foriginal%2Ffile-20240320-17-z24448.jpg%3Fixlib%3Drb-1.1.0%26rect%3D456%2C33%2C3953%2C1976%26q%3D45%26auto%3Dformat%26w%3D1356%26h%3D668%26fit%3Dcrop)
/https%3A%2F%2Fwww.radiofrance.fr%2Fs3%2Fcruiser-production%2F2023%2F10%2F81b36d89-e63b-44d3-bf3a-241667a92e5b%2F1200x680_sc_thumbnail-pigasse-matthieu-channah-assouline.jpg)
/https%3A%2F%2Fimages.theconversation.com%2Ffiles%2F580387%2Foriginal%2Ffile-20240307-24-4djhm5.jpg%3Fixlib%3Drb-1.1.0%26rect%3D0%2C684%2C5860%2C2930%26q%3D45%26auto%3Dformat%26w%3D1356%26h%3D668%26fit%3Dcrop)
Haut de page